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De la criminalité en col blanc à la criminalité en robe noire

Le dysfonctionnement judiciaire n’est pas une fatalité. Il résulte d’une technique érigée en science exacte, régie par des lois écrites et non écrites auxquelles sont initiés des acteurs, les uns opérant en col blanc dans le domaine économique et financier, les autres, officiant en robe noire dans le domaine judiciaire.

Tous défendent une même communauté d’intérêts, appartiennent à des corporations différentes mais à une même caste « d’intouchables » et tous sont issus de sanctuaires élitistes qui les « dressent» à l’art subtil de la spoliation crapuleuse assurée d’impunité par la perversion des décisions judiciaires.

Ce livre recense et analyse les méthodes, les techniques, les pratiques, les procédés, les stratégies et les tactiques dont résulte le dysfonctionnement judiciaire. Il dévoile les manœuvres souterraines et les tractations en coulisses, révèle les influences apparentes et occultes, dégage la méthodologie et ses principales typologies, démystifie toutes les formes de perversions des textes (juridistique) et des procédures (judiciaristique) pour aboutir à la finalité recherchée.

Nourri de quarante années d’expérience, étayé de nombreux exemple, ce livre démontre que la corruption économique et financière ne prospère qu’à la faveur de la corruption morale des institutions. Il autopsie le système, l’explore dans tous ses univers, livre un éclairage avisé pour ne plus être dupes de la Supercherie Judiciaire. Sur ce diagnostic accablant il dégage les trois lois qui régissent le système et formule une série de propositions d’une redoutable efficacité pour une vraie réforme des institutions. Tous ceux qui se trouvent en amont, en cours ou en aval d’un procès le liront avec profit.

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Commentaires: 1
  • #1

    daniel.pisters@telenet.be (dimanche, 14 octobre 2018 06:09)

    Je compte bien me procurer ce livre dans les plus brefs délais. Toutefois, je tiens à rappeler que cette problématique ne m'intéresse pas vraiment. C'est comme la politique et la crise économique, je la subis avec horreur, répulsion, indignation. Elle exacerbe la haine et le mépris que j'ai toujours éprouvé (j'ai même l'impression d'être né avec) pour la société, le monde, l'humanité, et peut-être même la vie, la nature, cette soi-disant Merveille d’Intelligence qui ne me paraît pas possible sans la Bêtise. Je hais encore plus les robes noires car ces cloportes m'obligent à m'intéresser à la problématique qu'elles créent et détournent depuis plus de 2 ans une part importante de mon potentiel intellectuel, émotionnel, de ma créativité que je pourrais mettre en œuvre dans des domaines plus gratifiants, parce que franchement plus intéressants et rémunérateurs. Pour préserver mon intellect, je profite de l'occasion que me donne cette forme particulièrement immonde d'adversité en développant un système informatique visant à combattre cette absurdité et même à mettre les magistrats au pas (militairement parlant car ils me semblent impossible de les remettre dans le droit chemin dans le monde civil ; ils y ont pris trop goût à leur déviance). PROMAVICTAS me permet d'entretenir mes connaissances des bases de données relationnelles, d'améliorer celles que j'ai de certaines techniques de programmation liées à l'internet, et même, dans une phase ultérieure qui ne se fera pas attendre, mes connaissances en Intelligence Artificielle. En parlant de mettre la magistrature au pas "militairement parlant", c'est bien parce que j'envisage de créer une forme d'armée, de robots virtuels, qui pourraient d'ailleurs rendre toute profession juridique obsolète, déclassée, de telle sorte que les robes noires n'auront plus d'utilité que comme linceuls de ceux qui les portent. Les victimes de la robotisation à outrance ne seront plus seulement les ouvriers de chaînes de montage. « Militairement parlant » car il faudra imposer aux reliquats encore vivants de ce type de profession une DISCIPLINE morale sans faille, une ascèse et cette DISCIPLINE ne peut s’imposer que par une terreur pire que celle qu’ils essayent de nous infliger. L’honorabilité dont la profession s’orne en principe ne devrait pas être bafouée mais renforcée par des mesures drastiques, valant pour les « sujets » qu’ils (mal-)traitent comme pour eux-mêmes. Ces mesures sont appliquées en fonction de règles d’inférence encodées dans un système expert assez complexe pour justifier une notation Big O (on dirait O+). Le juge devrait pour le moins composer avec les décisions d’un SE, moins pour émettre un jugement qui relève d’une décision que le SE est capable de prendre de façon autonome que pour nuancer celle-ci si nécessaire (bien que la Logique Floue telle que formalisée par Lotfi Zadeh permet de définir de telles nuances, en principe à l’infini – mais il faut quand-même humainement les définir, à l’origine – seulement, une fois qu’elles sont définies, il ne s’agit plus d’en dévier). Les magistrats, les avocats, les notaires devraient donc travailler sous contrainte logique, comme s’ils avaient tout le temps un robot d’une rigueur implacable surveillant leur travail par-dessus leur épaule. Si un chirurgien coupe dans un nerf vital, la sanction de sa maladresse, se produit immédiatement, en se manifestant, dans le pire des cas, par le décès du patient. Les magistrats, les avocats coupent sans cesse dans nos nerfs vitaux et n’encourent aucune sanction (même s’il est évident qu’ils entraînent régulièrement la mort de personnes innocentes, ne supportant pas leur mise sous tutelle, celle d’un proche et/ou d’être dépossédés ; les magistrats, tuteurs aggravent leur maladie, les plongent dans la dépression).
    Cette criminalité légalisée, organisée sur un fond de désorganisation et de logique de l’absurde nécessite plus que jamais une réplique de la part de ceux qui en sont victimes ou simplement de ceux qui sont sensibles à une telle injustice (comme je le fus quelques années avant d’être concerné directement lorsque je fus informé par une émission de la RTBF qui curieusement a disparu).
    Dans cette démarche que je vois comme martiale (même avec des 0 et des 1 comme soldats), il s’agirait sans doute d’interpeller d’abord les juristes, car après tout, n’est-ce pas ceux-ci, si je ne me trompe, qui définissent les lois, les règlementations indépendamment de leurs applications et utilisations (à bonnes ou mauvaises fins) factuelles par les juges et avocats. Les juristes devraient avoir le recul nécessaire et le sens de l’abstraction, bien que selon certaines incohérences du Code Civile Belge, on puisse se demander si ceux qui l’ont écrit ne l’ont pas écrit aussi mal afin de permettre aux juges et avocats de l’interpréter comme ils veulent (juristes complices à la base donc).
    Soit. Je mets ce livre dans mes priorités de lecture.